Vol d’identité : le cauchemar d’une propriétaire

Quand Ayako a reçu le premier appel de la banque, elle a pensé qu’il s’agissait d’un canular. On la menaçait de reprendre sa maison si les paiements du prêt hypothécaire n’étaient pas effectués. Mais c’est qu’elle habitait cette propriété depuis plus de dix ans et avait toujours fait ses paiements à temps. Après plusieurs autres appels, elle a décidé de mener son enquête.

Elle a alors découvert avec horreur qu’une deuxième hypothèque avait été prise sur sa maison, à son insu. On avait volé son identité et le fraudeur avait obtenu une hypothèque de 320 000 $ sur sa maison, respecté les modalités de paiement pendant un an, puis avait tout arrêté. Le temps qu’Ayako rassemble tous les éléments, la banque avait déjà mis en place une procédure de saisie.

Cependant, l’avocat d’Ayako lui avait recommandé de prendre l’assurance titres de CTIC au moment où elle avait acheté sa maison. Nous avons payé les frais d’avocat, fait rejeter les procédures judiciaires par la banque et fait enlever l’hypothèque frauduleuse de son titre de propriété. Heureusement, la banque avait aussi une assurance titres; elle a donc pu récupérer ses pertes, elle aussi.

Des histoires cauchemardesques comme celle d’Ayako, nous en voyons chaque année. Toutefois, ces histoires ne se terminent bien que grâce à la sécurité qu’offre une assurance titres. Son avocat ayant bien compris cette protection, Ayako a pu s’en sortir indemne.

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